S'ILS LE DISENT...


Voici quelques avis sur Yannick Le Nagard, glanés dans la presse.


«Yannick LE NAGARD se faufile et nage, avec aisance, dans ce courant ambigu qui pratique l’humour noir d’aujourd’hui. Celui d’une génération sans illusions et pourtant sans cynisme, accordant à ses contemporains un regard à la fois critique et indulgent. Comme d’autres la violence ou la provocation, lui a choisi le dérapage... contrôlé. »
Michel TRIHOREAU (Chorus)


« Y. Le Nagard séduit avec l’humour et l’autodérision d’un Casanova rêveur qui n’aurait pas le physique de l’emploi.»
Yves JAEGLE (Le Parisien)  


« Dans le vaste paysage musical français, peut-on aujourd’hui faire preuve de créativité originale ? La réponse est oui, la réponse est Yannick Le Nagard.. Il est de ceux qui savent composer des mélodies qui nous touchent à la première écoute... il connaît la valeur des mots et les utilise à bon escient afin de composer de brillantes ballades au cœur de la vie actuelle et des êtres humains qui la vivent. »
Hervé REYNAUD (La Marseillaise)


« Par un inhabituel et talentueux maniement du verbe, Y. Le Nagard parle de corruption, de paresse, d’amour et de solitude en alliant justesse et légèreté avec un humour irrésistible. »
Amélie Kolk (la Voix du Nord)


« Un petit agneau tout mignon qui deviendra gigot aux pommes de terre, une femme au foyer qui voulait être aimée de jeunes loups de mer pilleurs de cœur, un deux-pièces où résonnent les papouilles des voisins alors qu’on essaie d’oublier sa bien-aimée... Yannick Le Nagard souligne d’une plume astucieuse et drôle ces cruautés du quotidien. »
Stéphane MORAN - Aden - Le Monde


« De la belle graine de chansonnier, d’artisan de la rime et de la note. Sans prétention inutile, Le Nagard croque ses congénères. Parfois féroce, parfois tendre, le plus souvent juste. »
Valérie LEHOUX (Télérama)


" Un genre d’artiste précieux, fin, rare, à préserver comme certaines perles, ou à prescrire comme un remède salutaire pour la bonne santé de nos neurones ensommeillés. Mieux qu’un shampooing, Yannick Le Nagard nous lave la tête de l’intérieur. Amenez vos amis (même de force), ils vous remercieront plus tard. "
Christian LANDRAIN (Le Pavillon)

"Comme Renaud jouait les durs et les tatoués, Le Nagard joue au misanthrope et au détaché. Las ! On sait bien qu'il n'est pas grognon au fond et tout amour autour.
... Il habite au second degré d'une vie rêvée ("j'ai rien fait aujourd'hui" ou "elles sont toutes amoureuses de moi") d'où il détaille l'agitation humaine avec un malin plaisir, sans se priver de balancer un peu de poil à gratter qui tombe à pic."

Le chant des artisans